Membres des sociétés : comment attirer davantage de jeunes pêcheurs et pêcheuses dans les sociétés ? La clé réside dans les 8’406 participants annuels à l’attestation de compétences SaNa. Il faut aller les chercher de manière ciblée. Des exemples de réussite ont été présentés lors de la Conférence des présidents de la Fédération Suisse de Pêche (FSP).
Catégories de membres : « Brisons les anciennes structures », a déclaré l’administrateur David Bittner lors de la conférence des présidents de la FSP à Lausanne. Un grand potentiel réside notamment dans les membres individuels. Les propositions ont été bien accueillies, la décision sera prise lors de l’Assemblée des délégués extraordinaire du 30 novembre 2024.
Harles bièvres : la population de harles bièvres augmente d’année en année. C’est pourquoi le statut de protection, aujourd’hui rigide, doit être légèrement assoupli. C’est ce que demande le pêcheur tessinois et conseiller aux États Fabio Regazzi dans une intervention parlementaire élaborée en étroite collaboration avec la Fédération Suisse de Pêche. Car la pression du piscivore est grande dans certaines régions.
Der Schweizerische Fischerei-Verband informiert
Vereinsmitglieder: Wie bringen wir mehr jüngere Fischerinnen und Fischer in die Vereine? Der Schlüssel dazu liegt bei den jährlich 8406 SaNa-Absolvierenden. Sie gilt es gezielt abzuholen. An der Präsidienkonferenz des Schweizerischen Fischerei-Verbandes SFV wurden erfolgreiche Beispiele vorgestellt.
Mitgliederkategorien: «Lasst uns alte Strukturen aufbrechen», sagte Geschäftsführer David Bittner an der SFV-Präsidienkonferenz in Lausanne. Ein grosses Potenzial liegt insbesondere bei Einzelmitgliedern. Die Vorschläge sind gut aufgenommen worden, entschieden wird an der ausserordentlichen Delegiertenversammlung am 30. November 2024.
Gänsesäger: Die Gänsesäger-Population steigt von Jahr zu Jahr. Darum soll der heute starre Schutzstatus leicht gelockert werden. Das verlangt der Tessiner Fischer und Ständerat Fabio Regazzi mit einem Vorstoss, der in enger Zusammenarbeit mit dem Schweizerischen Fischerei-Verband entstanden ist. Denn der Leidensdruck ist in einzelnen Regionen gross.