Der Bund muss handeln, um die gefährdeten Fische zu retten
La Confédération doit agir pour sauver les poissons en danger
La population de poissons en Suisse diminue fortement en raison de la pollution. Pour y remédier, le Conseil national a adopté le 9 septembre 2025, une motion, à l’initiative de l’ancienne conseillère aux États Céline Vara, demandant au Conseil fédéral un plan d’action similaire à celui déjà existant pour les écrevisses. Ce plan prévoit la création de zones protégées, de corridors de migration (notamment pour la truite lacustre) et la protection des espèces endémiques.
Le National a toutefois modifié le texte afin d’inclure les intérêts de la pêche professionnelle et de loisir ainsi que l’impact des oiseaux piscivores comme le cormoran et le harle bièvre. Le Conseil des États doit encore se prononcer sur cette version modifiée.
Der Bund muss handeln, um gefährdete Fischarten zu retten
Die Fischpopulation in der Schweiz nimmt aufgrund der Umweltverschmutzung stark ab. Um dem entgegenzuwirken, hat der Nationalrat am 9. September 2025 auf Initiative der ehemaligen Ständerätin Céline Vara eine Motion verabschiedet, in der der Bundesrat aufgefordert wird, einen Aktionsplan zu erstellen, der dem bereits bestehenden Plan für Flusskrebse ähnelt. Dieser Plan sieht die Schaffung von Schutzgebieten, Wanderkorridoren (insbesondere für Seeforellen) und den Schutz endemischer Arten vor.
Der Nationalrat hat den Text jedoch geändert, um die Interessen der Berufsfischerei und der Freizeitfischerei sowie die Auswirkungen von fischfressenden Vögeln wie Kormoranen und Gänsesägern zu berücksichtigen. Der Ständerat muss noch über diese geänderte Fassung abstimmen.
Communiqué de presse FSP/ Medienmitteilung SFV
Il est urgent de réduire les PFAS pour la santé des poissons
Lorsque des organismes vivants tels que les poissons sont menacés par les PFAS, ces substances chimiques éternelles, il est urgent d’agir. La Fédération Suisse de Pêche (FSP) attend des mesures concrètes de la part du Conseil national et du Conseil des États lors de la session d’automne
Les signaux d’alerte sont inquiétants. Lorsque certaines régions recommandent la prudence dans la consommation de poisson et que d’autres régions annoncent avec soulagement que le poisson pêché dans leurs eaux peut continuer à être consommé sans crainte, c’est qu’il y a un problème. Pour la Fédération Suisse de Pêche (FSP), la pollution des eaux et des poissons par les PFAS n’est que la partie émergée de l’iceberg. « Si le poisson, l’un des aliments les plus naturels qui soient, ne peut plus être consommé qu’avec réserve, notre société a atteint un point critique », déclare Daniel Jositsch, président central de la Fédération Suisse de Pêche.
La FSP en faveur de solutions différenciées
Le Parlement doit donc agir lors de la session d’automne. Concrètement, un ensemble de cinq motions émanant de différents camps politiques est en discussion. Leur objectif est de réduire progressivement la pollution par les PFAS. Une chose est claire : « Nous ne pouvons pas faire disparaître les PFAS du jour au lendemain d’un coup de baguette magique », déclare Jositsch.
L’objectif doit toutefois être de s’attaquer aux causes. À cet égard, la Fédération Suisse de Pêche, en tant que force constructive, soutient la distinction entre les substances essentielles et non essentielles dans le cadre de l’autorisation. Les PFAS peuvent être essentiels pour les appareils médicaux, par exemple, mais pas pour les casseroles ou autres appareils ménagers. Il existe déjà plusieurs alternatives à cet égard, dont l’utilisation devrait être rendue obligatoire.
Dringend weniger PFAS für gesunde Fische
Sind Naturprodukte wie Fische durch die Ewigkeitschemikalien PFAS bedrängt, muss dringend gehandelt werden. Der Schweizerische Fischerei-Verband SFV erwartet von National- und Ständerat in der Herbstsession konkrete Massnahmen.
Die Alarmzeichen sind bedrohlich. Wenn einzelnen Regionen zur Vorsicht beimFischkonsum raten und andere Regionen mit Erleichterung mitteilen, dass Fische aus den entsprechenden Gewässern weiterhin bedenkenlos genossen werden können – dann stimmt etwas nicht mehr. Für den Schweizerischen Fischerei-Verband SFV ist die Belastung der Gewässer und der Fische durch PFAS sozusagen die Spitze des Eisbergs. «Wenn der Fisch als eines der natürlichsten Lebensmittel nur noch mit Vorbehalt genossen werden darf, ist unsere Gesellschaft an einem Tiefpunkt angelangt», sagt Daniel Jositsch als Zentralpräsident des Schweizerischen Fischerei- Verbandes.
SFV für differenzierte Lösungen.
Das Parlament muss deshalb in der Herbstsession handeln. Konkret steht ein Paket von fünf Motionen aus verschiedenen politischen Lagern zur Debatte. Deren Stossrichtung ist eine schrittweise Reduktion der PFAS-Belastungen. Klar ist dabei: «Mit dem Zauberstab werden wir die PFAS nicht von einem auf den andern Tag los», so Jositsch. Ziel muss aber sein, die Ursachen zu bekämpfen. Dabei unterstützt der Schweizerische Fischerei-Verband als konstruktive Kraft die Unterscheidung in der Zulassung von essenziellen und nicht essenziellen Stoffen. Essenziell nötig können PFAS beispielsweise für medizinische Geräte sein, nicht aber für Pfannen oder andere Haushaltgeräte. Diesbezüglich gibt es bereits etliche Alternativen, die verpflichtend eingesetzt werden sollen.
Lien vers le communiqué de presse FSP
Lien vers la dépêche ATS (PFAS)